孤胆特工
地区:大陆
  类型:刑侦
  时间:2025-07-16 04:33:05
剧情简介

在云南怒江边的大山里,孤胆生活着一群没有户籍的傈僳族人。这里没有学校,孤胆没有医院,偶尔会有慈善人士来教孩子们一些文化知识。由于不能上学,孩子们的时间都用来给家里干活。影片纪录了这批傈僳族人中兄弟俩的生活:哥哥此利华17岁,弟弟甲利华10岁。他们的爸爸在弟弟六个月大的时候去世了,妈妈改嫁山下,没有带走他们,兄弟俩在山上跟着外婆、舅舅生活。在艰辛和困苦之外,他们的生活也有着简单的快乐。This documentary is about the life of two Lisu brothers who live on the Biluo mountain where Nujiang River passes. The elder brother, Cilihua, is 17 years old and the younger one, Jialihua is 10. Their father died when the younger brother was only six months. Their mother remarried and settled at the foot of the mountain, leaving the boys to her mother and brother. There is no school on the mountain and the kids spend their time shouldering the family chores. Even with the misfortune and hardship, simple happiness is never far from their life.

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娇娇
周志宏
最新评论(293+)

李皆乐

发表于4分钟前

回复 :藏剑山庄庄主之女剑如冰请求素还真帮助自己寻找宝物“磁雷导引”,于是,素还真和好友青阳子踏上了旅途。剑如冰的父亲剑上卿因遭到异种“非善类”的迫害导致家破人亡,自己也容貌尽毁武功全失。剑上卿将痛苦和仇恨投射到了当时未能助她一臂之力的素还真身上,一心想要吃之而后快。剑上卿利用了傲笑红尘对正义的追求和对剑如冰的感情,傲笑红尘在剑上卿的教唆之下和素还真展开了对决。实际上,剑上卿想要得到拥有神秘力量的天问石,重新夺回称霸武林的地位。为此,剑上卿甚至不惜牺牲了女儿的性命。就在剑上卿的阴谋最终得逞之际,素还真和得知了真相的傲笑红尘赶到,一场大战拉开序幕。


晨辉

发表于8分钟前

回复 :秀兰在《曼德勒》中,与凯·弗朗西斯和里卡多·柯兹一起乘坐一列丛林蒸汽火车,走马灯似地露了一面。


织田纯一郎

发表于4分钟前

回复 :Walden (Diaries, Notes & Sketches) de Jonas Mekas États-Unis, 1969, 16mm, 180’, nb et coul., vostf filmé entre 1964 et1968, monté en 1968-1969Walden est le premier des journaux de Jonas Mekas, rassemblés sous le titre générique Diaries, Notes & Sketches – le premier monté, même si Lost Lost Lost, achevé en 1976, montre la période précédente, de 1949 à 1963.« Depuis 1950, je n’ai cessé de tenir mon journal filmé. Je me promenais avec ma Bolex en réagissant à la réalité immédiate : situations, amis, New York, saisons. […] Walden contient le matériel tourné de 1964 à 1968 monté dans l’ordre chronologique. La bande-son utilise les sons enregistrés à la même époque : voix, métro, bruits de rues, un peu de Chopin (je suis un romantique) et d’autres sons, significatifs ou non. »Jonas Mekas« Je n’ai pas disposé de ces longues plages de temps nécessaires à la préparation d’un scénario, puis au tournage, puis au montage, etc. Je n’ai eu que des bribes de temps qui ne m’ont permis de tourner que des bribes de film. Toute mon œuvre personnelle est devenue comme une série de notes. Je me disais : je vais faire tout ce que je peux aujourd’hui, parce que sinon je ne trouverai pas d’autre moment libre avant des semaines. Si je peux filmer une minute, je filme une minute. Si je peux filmer dix secondes, je filme dix secondes. Je prends ce que je peux, désespérément. Mais pendant longtemps, je n’ai pas visionné ce que je filmais et emmagasinais ainsi. Je me disais que tout ce que je faisais, c’était de l’entraînement. »Jonas Mekas, 1972« Walden de Jonas Mekas s’impose, près de trente ans plus tard, comme un document cinématographique essentiel de la vie artistique new-yorkaise à l’une de ses époques les plus grandioses. Sans jamais choquer ni se confesser, Mekas a imprégné chaque instant de ce très long film des nuances de sa personnalité. Parmi un vaste éventail de personnages, pour la plupart non nommés ou simplement appelés par leur prénom – bien que certains soient mondialement célèbres –, le seul portrait psychologique est celui du cinéaste lui-même : un poète lituanien exilé, fasciné et torturé par sa lente américanisation. Le film est dominé par un rythme staccato nerveux qui s’épanche régulièrement en grandes exaltations. En accumulant massivement des images, Mekas s’est constitué des archives uniques en leur genre pour assembler ce journal visuel, le premier d’une longue série. Aucun autre film ne restitue à ce point la sensation propre à ce temps et à ce lieu, telle qu’on peut la retrouver en regardant le film aujourd’hui. En tant que personnage secondaire apparaissant régulièrement devant la caméra de mon ami, je suis conscient combien sa représentation des autres reste fragmentaire et elliptique, et cependant ces images sont devenues pour moi les indices visuels les plus forts de la personne que j’étais il y a trente ans. Ceci est peut-être la clé de l’œuvre de Mekas : sa découverte d’une forme cinématographique laissant transparaître ses changements d’humeur, sans imposer un masque cohérent de lui-même. Il a ainsi construit une oeuvre qui laisse les autres apparaître dans leur ambiguïté phénoménale. »P. Adams Sitney, 1996, Le Livre de Walden, éd. Paris Expérimental, 1997« Disons que, cinématographiquement parlant, il n’y a peut-être rien de plus beau que les trois premiers plans de Walden : des arbres dans un parc bleuté par les reflets du soleil d’hiver, la neige et l’aube du printemps ; du temps, proustien ou haché en haïku, du temps qui tient dans la main, du souvenir partout. »Philippe Azoury, « Vivace Jonas Mekas », Libération, 31 octobre 2000


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