我們每個人都在「翻滾」中長大成人,欧美然後完成自己的故事。從《翻滾吧!男孩》到《翻滾吧!阿信》再到《翻滾吧!男人》15年來,欧美導演與教練一直想做的就是:「讓小男孩的翻滾體操夢成真,讓台灣的體操選手努力被看見被尊重。」你準備好跟我們一起翻滾了嗎?不要忘記我們的「翻滾之路沒有停過」。15年來的淚水與汗水,男孩成了男人,這次讓我們一起見證「完美落地」。
我們每個人都在「翻滾」中長大成人,欧美然後完成自己的故事。從《翻滾吧!男孩》到《翻滾吧!阿信》再到《翻滾吧!男人》15年來,欧美導演與教練一直想做的就是:「讓小男孩的翻滾體操夢成真,讓台灣的體操選手努力被看見被尊重。」你準備好跟我們一起翻滾了嗎?不要忘記我們的「翻滾之路沒有停過」。15年來的淚水與汗水,男孩成了男人,這次讓我們一起見證「完美落地」。
回复 :World War I is coming to its end. Prisoners of war are coming into the town with Serb Ivo among them. During one of his escapes from the camp, he finds himself in a private garden. There he meets Lisa, the wife of the town-major - a severe and heartless colonel. She is sad, lonely and her meeting with the Serb develops into a deep mutual love. Their meetings become more frequent. But the lovers are doomed. The war prisoners are moved away and as Ivo comes to bid her farewell, he is shot to death. Written by Georgi Djulgerov {major@bitex.com}
回复 :Walden (Diaries, Notes & Sketches) de Jonas Mekas États-Unis, 1969, 16mm, 180’, nb et coul., vostf filmé entre 1964 et1968, monté en 1968-1969Walden est le premier des journaux de Jonas Mekas, rassemblés sous le titre générique Diaries, Notes & Sketches – le premier monté, même si Lost Lost Lost, achevé en 1976, montre la période précédente, de 1949 à 1963.« Depuis 1950, je n’ai cessé de tenir mon journal filmé. Je me promenais avec ma Bolex en réagissant à la réalité immédiate : situations, amis, New York, saisons. […] Walden contient le matériel tourné de 1964 à 1968 monté dans l’ordre chronologique. La bande-son utilise les sons enregistrés à la même époque : voix, métro, bruits de rues, un peu de Chopin (je suis un romantique) et d’autres sons, significatifs ou non. »Jonas Mekas« Je n’ai pas disposé de ces longues plages de temps nécessaires à la préparation d’un scénario, puis au tournage, puis au montage, etc. Je n’ai eu que des bribes de temps qui ne m’ont permis de tourner que des bribes de film. Toute mon œuvre personnelle est devenue comme une série de notes. Je me disais : je vais faire tout ce que je peux aujourd’hui, parce que sinon je ne trouverai pas d’autre moment libre avant des semaines. Si je peux filmer une minute, je filme une minute. Si je peux filmer dix secondes, je filme dix secondes. Je prends ce que je peux, désespérément. Mais pendant longtemps, je n’ai pas visionné ce que je filmais et emmagasinais ainsi. Je me disais que tout ce que je faisais, c’était de l’entraînement. »Jonas Mekas, 1972« Walden de Jonas Mekas s’impose, près de trente ans plus tard, comme un document cinématographique essentiel de la vie artistique new-yorkaise à l’une de ses époques les plus grandioses. Sans jamais choquer ni se confesser, Mekas a imprégné chaque instant de ce très long film des nuances de sa personnalité. Parmi un vaste éventail de personnages, pour la plupart non nommés ou simplement appelés par leur prénom – bien que certains soient mondialement célèbres –, le seul portrait psychologique est celui du cinéaste lui-même : un poète lituanien exilé, fasciné et torturé par sa lente américanisation. Le film est dominé par un rythme staccato nerveux qui s’épanche régulièrement en grandes exaltations. En accumulant massivement des images, Mekas s’est constitué des archives uniques en leur genre pour assembler ce journal visuel, le premier d’une longue série. Aucun autre film ne restitue à ce point la sensation propre à ce temps et à ce lieu, telle qu’on peut la retrouver en regardant le film aujourd’hui. En tant que personnage secondaire apparaissant régulièrement devant la caméra de mon ami, je suis conscient combien sa représentation des autres reste fragmentaire et elliptique, et cependant ces images sont devenues pour moi les indices visuels les plus forts de la personne que j’étais il y a trente ans. Ceci est peut-être la clé de l’œuvre de Mekas : sa découverte d’une forme cinématographique laissant transparaître ses changements d’humeur, sans imposer un masque cohérent de lui-même. Il a ainsi construit une oeuvre qui laisse les autres apparaître dans leur ambiguïté phénoménale. »P. Adams Sitney, 1996, Le Livre de Walden, éd. Paris Expérimental, 1997« Disons que, cinématographiquement parlant, il n’y a peut-être rien de plus beau que les trois premiers plans de Walden : des arbres dans un parc bleuté par les reflets du soleil d’hiver, la neige et l’aube du printemps ; du temps, proustien ou haché en haïku, du temps qui tient dans la main, du souvenir partout. »Philippe Azoury, « Vivace Jonas Mekas », Libération, 31 octobre 2000
回复 :“Hasta la Vista”可不是阿诺在《终结者》中拽拽地说出的名台词,而是西班牙一所妓院的妓女们热情好客的欢送语。三位主人公是一名盲人,一名半身麻痹着和一名全身瘫患者,但是他们相信,像他们这样的人也有权利追求爱和性,所以三人本着“破处”的目的向着西班牙一家为残疾人提供服务的妓院出发了……